Premier tome offert par ma douce : Les fiancés de l’hiver, couverture jolie, résumé intriguant. Hop, je m’y lance et tchac, tchac, thac, les feuilles tournent sans répit, les phrases défilent à toute vitesse, les chapitres se succèdent sans repos. Et merdeuh, y’a encore deux autres tomes à lire : Les disparus du Clairdelune et La mémoire de Babel.

Y’a pas à dire, je suis plongé dans l’histoire avec le saut de l’ange, un triple salto avant et tout et tout ! Et merdeuh, y’a encore un quatrième tome qui n’est pas encore sorti et qui devrait être le dernier. Le temps d’attendre que ça sorte, il est possible que j’ai oublié les trois premiers livres et va falloir s’y remettre, je trépigne d’impatience de connaître la fin, la véritable FIN !

[Scan couverture]

L’écriture est fluide, l’héroïne attachante avec son écharpe élimée, ses lunettes de myopie, sa maladresse permanente, sa capacité à lire le passé des objets et de traverser les miroirs. Christelle Dabos déborde d’imagination et c’est visuel, j’accroche tout de suite. Un monde détruit, éparpillé, ne reste plus que des bouts de terre (les arches) qui flottent dans l’air au-dessus d’un noyau et des nuages perpétuels. Par qui ? Comment ? C’est le véritable énigme qui apparaît petit à petit durant l’histoire. Et qui est ce fichu Dieu ? Diable, que de questions ! Et bientôt, pas trop longtemps, les réponses peut-être…