Trombine

Me contacter et voir mes chaussettes

Il suffit de m’envoyer un mail ou de laisser un commentaire. Je les lis tous et j’essaie d’y répondre régulièrement. Par contre, ce n’est pas la peine de me demander la couleur de mon caleçon, slip, boxer ou string mais vous pouvez assouvir votre curiosité sur la couleur de mes chaussettes (mais si, mais si, ça vous intéresse !) :

Arlequintomie

Avant de vanter mon intelligence, ma perspicacité et ma lucidité sans failles, commençons par l’aspect physique. Je mesure deux mètres de haut pour un poids de 90 kilos avec une carrure de rugbyman genre Les dieux du stade. Évidemment, je suis un beau blond aux yeux perçants. Animé d’une démarche athlétique et gracieuse d’où émane une puissance retenue, je m’en vais par monts et par vaux prêcher la parole scientifique. Bon, soyons sérieux. Qui tomberait dans le panneau de Rahan ? C’est tout bête, prenez le contraire du portrait élogieux et vous serez plus proche de la réalité…

Œil de Sirtin

Aventure universitaire

Suite à un parcours scolaire sans faute dans le primaire, collège et lycée, j’entre dans l’université Pierre et Marie Curie (Paris VI – Jussieu) et j’y reste pour cinq ans au bas mot. Durant les deux années de DEUG, j’ai suivi des cours de physique, chimie, mathématiques, géologie et biologie. A la fin de ces deux années, j’hésitais entre poursuivre une licence en chimie ou une licence en biologie. Finalement, j’optais pour la dernière voie qui me mènera à la réussite d’un diplôme en Master Recherche dont l’intitulé est Biologie Intégrative et Physiologique, spécialité Neurosciences. Mention Assez Bien s’il vous plaît. Une petite phrase qui fait toujours plaisir quand on sait que le cursus universitaire est fondamentalement inadapté pour le sourdingue que je suis… La spécialisation en biologie ne m’empêche pas de suivre l’actualité scientifique en lisant des magazines comme Science et Vie, Sciences et Avenir, La Recherche, etc.

Après réflexions, j’ai décidé de suivre un Master Professionnel, deuxième année, à l’École de Journalisme et de Communication de Marseille (EJCM), que j’ai décroché avec mention Assez Bien (encore !). Plus précisément, la filière Média, santé et communication afin d’exercer le noble métier du journaliste scientifique. Ou du moins un métier en rapport avec une médiation scientifique entre les laboratoires de recherche et le grand public. J’aime apprendre des nouveaux concepts et participer à des projets. A quoi bon emmagasiner tout ce savoir si personne d’autre n’en profite ? C’est pourquoi j’ai créé ce blog pour m’entraîner à écrire régulièrement et à manier la vulgarisation scientifique. D’autres centres d’intérêts ont été ajoutés depuis car je n’aime guère me limiter à un domaine, je déteste m’enfermer dans une étiquette et une catégories précises. Au lecteur ensuite de trouver sa perle qui l’amènera – je l’espère ! – vers une direction inattendue.


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Tribulations professionnelles

Les études finies, je pars à la pêche aux moules avec le désir de garder le contact entre le milieu de la recherche et la science. Je me voyais, en vrac selon les opportunités, ingénieur d’études en laboratoire, rédacteur scientifique, chargé de communication scientifique, animateur scientifique et tutti quanti. Finalement, mon parcours aura pris pas mal de chemins de traverse. Jugez-en car j’ai été tour à tour, par ordre antéchronologique :

  • Médiateur scientifique pour le musée des Confluences. C’est mon poste actuel où je fais découvrir la richesse du musée au grand public, aussi bien en LSF qu’en français. Cette richesse englobe les collections permanentes, temporaires et l’architecture insolite du bâtiment. Avis aux curieux de tout poil !
  • Animateur scientifique dans l’association ébulliScience. Le principe est de faire découvrir aux enfants la démarche scientifique, de l’observation aux résultats en passant par la vérification des hypothèses via l’expérimentation. A eux de trouver (ou pas) les réponses.
  • Animateur de prévention sur la santé générale et la santé sexuelle en particulier dans l’association ACCES. Je travaillais avec les personnes sourdes et malentendantes en les informant sur la puberté, les contraception, les IST, le VIH/sida, les hépatites…
  • Chargé de communication au sein de l’association Arts-Terres. Mon rôle consistait à développer un réseau culturel des Bouches-du-Rhône à destination des personnes sourdes et malentendantes. Autrement dit, réfléchir à l’accessibilité des événements culturels (musée, danse, cinéma, destivals…).

Errances virtuelles

Par le hasard des choses, au gré de mes rencontres, j’ai fini par m’intéresser et même me passionner pour la conception et la création de sites Internet. Outre mon blog que j’ai conçu de A à Z, j’ai également participé à l’élaboration des sites suivants, par ordre antéchronologique :

Vive La Chute

Vive La Chute est un club de parachutisme. Encadrer et accompagner ses membres dans leur progression est son but principal, sans oublier la constitution et le soutien d’équipes de compétition Sa particularité ? C’est le seul club français qui propose une formation adaptée aux sourds depuis 2006.

POPS France

L’association POPS France (Parachutist Over Phorty Society) regroupe des parachutistes de plus de 40 ans. Leur devise est : Vous n’arrêtez pas de sauter parce que vous devenez vieux, vous devenez vieux parce que vous arrêtez de sauter !.

Le Signal

Le Signal est un réseau culturel d’information et d’accessibilité, à destination des publics sourds et malentendants et des programmateurs culturels des Bouches-du-Rhône.

ACCES

L’association ACCES avait pour but d’initier, de développer et de coordonner des actions d’éducation à la santé et à la citoyenneté à destination des populations précaires. « Avait » car l’association a fermé ses portes et mis la clé sous le paillasson.

Prismavilla

Prismavilla était dédié à l’accessibilité de la vie quotidienne pour la population sourde, en particulier les transports et le logement. Faute de participants et de temps, le site n’existe plus.