Ripisylve… Quézaco ?
J’ai découvert un nouveau mot que je ne connaissais pas : Ripisylve. Ce joli mot désigne toutes les formations végétales qui se développent sur les bords des cours d’eau ou des plans d’eau. Elles s’étalent sur 20 à 30 mètre de large et constituent la zone frontière entre l’eau et la terre. La ripisylve (du latin ripa, « rive » et sylva, « forêt ») peut donc correspondre à un corridor très large ou à un liseré très étroit, est souvent inondable et se compose d’essences variées à bois tendres (saules, aulnes, peupliers…) et à bois durs (frênes, érables, chênes…).
Préserver la rivière et ses berges
[Source image : lien cassé]
La ripisylve joue plusieurs rôles cruciaux :
- Amélioration de la qualité des eaux
- Diversification des habitats aquatiques
- Stabilisation du lit, protection contre les crues et l’érosion
- Attractivité et qualité du paysage fluvial
- …
La liste n’est pas exhaustive mais montre bien l’importance de la ripisylve. Maintenant, je ne regarderais plus les berges de la même manière. Quoi c’est tout ?! Oui, c’est tout car le sujet est déjà largement abordé et je vous invite à parcourir les liens ci-dessous. Mais je suis content d’avoir appris un nouveau mot (oui, je radote…).
En savoir plus…
– Les intérêts de la ripisylve
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