Tout est dit dans le titre ! Rien qu’à voir la bande-annonce et l’affiche, j’espérais que Wade Wilson, alias Deadpool, serait bel et bien l’anti-super-héros par excellence. Mes espérances furent tout simplement pulvérisées dès la première seconde du film !

C’est crade, gore, y’a des têtes qui volent, des cervelles qui giclent. C’est vulgaire, avec une bonne dose d’humour noir. Tellement tordu que je ne suis pas sûr d’avoir tout compris. Et enfin jouissif car ça casse à fond la donf les codes d’honneur des super-héros, sans compter que ça vire souvent au n’importe quoi !

Bon, y’a parfois des longueurs, c’est prévisible par moments et j’ai eu bien mal à la tête avec toutes ces castagnes mais je me suis bien amusé. C’est l’essentiel et ne ratez pas la scène bonus après le générique. Si ce n’est pas ton genre, alors passe ton chemin, y’a rien pour toi.

Pour les nuls de l’anglais (comme moi), je traduis le texte de l’affiche avec Deadpool qui fait ses grands yeux innocents, l’index mutin sur sa bouche et son p’tit cul en lycra bien moulé :

• Bad ass = Mauvais garçon
• Smart ass = Petit malin
• Great ass = Beau cul

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Synopsis
Deadpool, est l’anti-héros le plus atypique de l’univers Marvel. A l’origine, il s’appelle Wade Wilson : un ancien militaire des Forces Spéciales devenu mercenaire. Après avoir subi une expérimentation hors norme qui va accélérer ses pouvoirs de guérison, il va devenir Deadpool. Armé de ses nouvelles capacités et d’un humour noir survolté, il va traquer l’homme qui a bien failli anéantir sa vie.