La vache qui se rit de l’infini… La vache !
Mosaïques : En vrac • Môa ! Et vous...
mercredi 2 avril 2008
Dans la rubrique « courrier » du magazine Sciences et Avenir (avril 2008, n°734, p 9) se trouvait une petite perle. Je n’ai pu résister au plaisir de vous le faire partager. N’ayant pu contacter l’auteur pour obtenir son accord, j’espère qu’il ne verra pas d’inconvénients à la diffusion de son poème sur Internet…
Dois je mentionner son nom ou non ?
Un conseil ?
[Source image : lien cassé]
VACHKIRIT
Un mufle sympathique, de petits yeux coquins,
Une chaude fourrure aux tons crème et rouquin ;
des cornes conquérantes et, surtout, ô merveille,
En guise de bijoux, pendant à chaque oreille,
La boîte bien connue du célèbre fromage
Qui, à réduite échelle offre aussi en image :
Un mufle sympathique, de petits yeux coquins,
Une chaude fourrure aux tons crème et rouquin ;
des cornes conquérantes et, surtout, ô merveille,
En guise de bijoux, pendant à chaque oreille,
La boîte bien connue du célèbre fromage
Qui, à réduite échelle offre aussi en image :
Un mufle sympathique, de petits yeux coquins…
On pourrait décliner dix fois, vingt fois, cent fois,
recycler ce couplet durant des jours, des mois :
Il surprend votre esprit et tout droit le dirige
vers ce grand infini qui donne le vertige…
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Ravissant… Ca réveille la nostalgie, isn’t it ?
Oui.
Tu veux un mouchoir ?
😉
Avec plaisir.
Le voilà.
Taché de morve ?
Avec un zeste de jaune ?
Ou brillant de propreté tu préfères ?
On peut quand même dire que l’auteur en est Gérard.
[Reste du message supprimé par Sirtin pour cause de divulgations d’informations privées]
Par respect de la vie privée des personnes en générale, je préfère supprimer le nom de famille et l’adresse de l’auteur car je ne sais pas s’il l’aurait voulu ou non. Je laisse par contre le prénom.
Si tu le connais, tu peux toujours lui demander s’il souhaite que je mentionne aussi son nom de famille. Merci de ta compréhension.